Violoncelliste au sein de l’Orchestre du Centre national des Arts, Julia MacLaine nous transporte en Géorgie par une froide nuit d’hiver. Grâce à ses arrangements, elle fait vibrer les cordes sensibles d’une chanson folklorique intitulée Orovela. Le tout enrobé d’un feu crépitant et de quelques bougies... La chaleur et le mystère qui s’en dégagent ne peuvent que remplir nos imaginaires assoiffés.